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etillon

10 décembre 2006

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10 décembre 2006

epica

I. Impasse of Thoughts]

I can’t see you, I can’t hear you
Do you still exist?

I can’t feel you, I can’t touch you,
Do you exist?

The Phantom Agony

I can’t taste you, I can’t think of you,
Do we exist at all?

[II. Between hope and despair]

The future doesn’t pass
And the past won’t overtake the present
All that remains is an obsolete illusion

We are afraid of all the things that could not be
A phantom agony

Do we dream at night
Or do we share the same old fantasy?
I am a silhouette of the persen wandering in my dreams

Tears of unprecedented beauty
Reveal the truth of existence
We’re all sadists

The age-old development of consciousness
Drives us away from the essence of life
We meditate too much,
so that our instincts will fade away
They fade away

What’s the point of life
And what’s the meaning if we all die in the end?
Does it make sense to learn or do we forget everything?

Tears of unprecedented beauty
Reveal the truth of existence
We’re all pessimists

Teach me how to see and free the disbelief in me
What we get is what we see, the Phantom Agony

[III. Nevermore]

The lucidity of my mind has been revealde in new dreams
I am able to travel where my heart goes
In search of self-realisation

This is the way to escape from our agitation
And develop ourselves
Use your illusion and enter my dream...

7 décembre 2006

I believe I can see the futureCause I repeat the

I believe I can see the future
Cause I repeat the same routine
I think I used to have a purpose
But then again
That might have been a dream
I think I used to have a voice
Now I never make a sound
I just do what I've been told
I really don't want them to come around

Oh, no

[Chorus:]
Every day is exactly the same
Every day is exactly the same
There is no love here and there is no pain
Every day is exactly the same

I can feel their eyes are watching
In case I lose myself again
Sometimes I think I'm happy here
Sometimes, yet I still pretend
I can't remember how this got started
But I can tell you exactly how it will end

[Chorus]

I'm writing on a little piece of paper
I'm hoping someday you might find
Well I'll hide it behind something
They won't look behind
I'm still inside here
A little bit comes bleeding through
I wish this could have been any other way
But I just don't know, I don't know what else I can do

6 décembre 2006

Vous avez tué une fée i will become your master

Vous avez tué une fée

i will become your master

mon fils est mort , il ne reviendra pas.

Why do we live?

Vos yeux s'alourdissent

car la fin est proche

vour dormez

le feu vous protege

cri

toute vie en vaut de nombreuses

décapitation

le feu te tue

a quoi bon lutter

qu'avez vous vue

ca recommence

la vie est un reve?

Il faut qu'on en parle

j'ai pas terminé mon dessin

les corbeaux il y en avait plein ce matin

les status étaient noir

le feu a pris dans les bois

je ne sais pas

pourquoi saute tu?

Car il le faut

pourquoi?

La vie est un reve?

Et si elle ne l'est pas?

Alors je meurs

et alors

c'est déjà arrivé

6 décembre 2006

v

Voila, à premiere vue, je ne suis qu'un vulgaire comédien de vaudeville à qui les vissiscitudes de la vie font jouer à la fois le vilain et la victime...et vice versa. Ce visage n'est pas le vil reflet de ma vanité, mais le vibrant vestige de la vox populi aujourd'hui vacillante et vaincue. Vous devez y voir les vieux restes d'une vexation vieillissante, aussi vive que vivante et vouée à vaincre cette vermine vulgaire, vivace, virulente et vénale qui vivote en privant ses valeureuses victimes vaincues de la vérité et des vraies valeurs.
Le seul verdict que je vois est la vengeance, une vendetta violente brandie tel un ex voto et non en vain, visant à faire vaincre la vertu face à cette vilénie lovée dans les veines de nos villes.
Ces aimables vocables faisant de moi un ventriloque vociférant, révolu, verbeux, revenons en à l'essentiel, je suis honoré de vous rencontrer, alors pour vous, je serais V.

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6 décembre 2006

death

scene1

Écran noir

«Vous connaissez la chanson de nine inch nails every day is exactly the same? Et bien c'est vrai, chaque jour est tellement identique que s'en est désespèrent. J'ai souvent l'impression que je dors. J'ai besoin de retourner à la réalité, j'ai besoin de me réapproprier mon corps. Un après midi je me suis coupé le bras avec un cutter pour voir la sensation. Ca fait mal,mais c'est comme si c'était un bon mal, qui me délivrait de toute la douleur mentale. Et puis je suis allé plus loin, je suis passé par le rasoir mais rapidement j‘ai plus rien senti. Maintenant j‘utilise le couteaux, contrairement au rasoir ça déchire la peau c‘est mieux»

Apparition à l'écran d'une jeune assise dans une salle de bain habillé en noir tenant un couteau

elle tend son poignet, pose le couteau dessus, le camera se fixe sur le visage qui n'exprime rien

scene2

plan sur un réveil il s'allume.

Plan sur la fille qui dort elle a un pansement au poignet, prenant sont petit déjeuné, dans l'ascenseur, dans le tram, dans un amphi, en conférence de méthode, au restaurant universitaire à parler et rire avec des amis, dans un amphi, de nouveau dans le tram. Pendant cette succession de plan destinés a montrer une journée banale d'un étudiant, musique every day is exactly the same.

Scène 3

Dans son appartement avec une amie, elles ont toutes deux une bière a la main

«qu'est ce que tu as au poignet? »

« rien je me suis brûlé en cuisinant. »

« montre »

« non c'est rien »

« t’as recommencé »

« non j'ai eu trop de mal à arrêter. »

« montre alors »

l'autre fille prend de force le poignet

« arrête, ok j'ai recommencé mais je le ferais. plus ça ne m'a rien apporté. »

« pourquoi tu fais ça? »

« tu le sais »

« dis le moi ça te fera du bien. »

« ok mon pere est mort il y a deux ans ma mere me hait, quand je lui montre ça elle dit que tu es responsable et mon frere me dit de fermer ma gueule, c’est fou ce que je me sent mieux » ton cassant.

« arrête »

Scène 4

Écran noir

« La vida es sueño , la vie est un rêve. Je ne la vois pas comme ça. La douleur physique n’efface plus la douleur moral, je n’arrive plus à me réveiller, à me réapproprier mon corps. Il faut que j’aille plus loin, que je fasse quelque chose qui me réveil. »

La jeune fille est assise dans une salle de bain, le couteau a la main. Gros plan sur la gorge, elle y pose le couteau.

Écran noir

générique

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